L’équipe est constituée de deux étudiants en formation d’ingénieur agronome, Corenthin et Thomas. Leur école leur offre la possibilité d’effectuer une césure d’un an. Cette mise entre parenthèse des études est l’occasion de réaliser des projets personnels avant la fin de leur cursus d’ingénieur en agriculture.
Thomas Fungenzi – 29 ans
« Diplômé d’un DUT Génie Biologique option Agronomie à Aurillac, je suis aujourd’hui une formation d’ingénieur en agriculture, dans la même promotion que Corenthin.
Mon parcours universitaire m’a permis de travailler comme stagiaire au sein d’un centre technique réalisant des travaux de recherche appliquée sur la filière fruit et légumes.
Un autre stage cette fois chez un éleveur m’a permis de me familiariser avec le monde rural et d’acquérir des connaissances en zootechnie.
Un dernier stage, cette fois avec une association togolaise, m’a permis de mieux appréhender les questions liées au développement des territoires africains.
J’ai ainsi pu travailler sur le terrain et pratiquer différents types d’agriculture.
Passionné par le monde vivant et gros consommateur de documentaires, ma curiosité m’a amené à m’intéresser aux relations que l’homme entretien avec la nature et à la manière dont il affecte son environnement. Par conviction, il m’apparait important de partager mes connaissances, notamment vis-à-vis des grands problèmes que l’humanité risque de rencontrer au XXIe siècle. »
C’est donc par soif d’expérience et par volonté d’agir auprès de ces concitoyens qu’il a souhaité mettre au point ce projet.
Corenthin Chassouant – 28 ans
« Ayant suivi une formation d’ingénieur en agriculture (UniLaSalle Beauvais), diplômé d’un DUT Génie Biologique option Agronomie à Lyon, joueur de rugby et passionné de photographie, je suis particulièrement sensible à l’étude et la protection des écosystèmes forestier ainsi qu’aux thématiques liées à l’agriculture biologique.
Au long de mes études, j’ai pu entre autres effectuer un stage de 4 mois au sein de Ressources Naturelles Canada pour étudier les interactions entre la faune et la flore en forêt boréale. De plus, étant originaire de la Drôme (premier département en nombre d’exploitations biologiques en France), je me sens plus que concerné par l’étude des exploitations biologiques en Australie. »
Son goût de la découverte, sa passion des sports d’extérieurs ainsi que ses compétences en sciences naturelles l’ont amené à monter le projet.